OBJECTIFS:
Former les populations au bien fait d’appliquer ces modèles agricoles, leur avantage est pouvoir profiter d’une agriculture garantissant une securité alimentaire et des revenus fixes via l’achat d’une partie des récoltes par l’unité de production.
Des emplois seront crés, des plans de formation, de developpement seront mise en place pour garantir une production sûre et pérenne dans le temps.
Permettre à la Guinée de comprendre que son retard dans le secteur agricole est une aubaine, devélopper un tel modèle basé sur l’agroforestérie sauvage, combiné à des cultures permacoles, à la présence de bétail, à une gestion de l’eau , associé pour relancer des terres mortes, préserver les nappes phréatiques ne serait que bénéfique aux pays et donnerait une image d’avant-garde de protection de la biodiversité existantes.
Autre objectif, reboisser les terrains qui ont été saccagés, détruits ; reboissement qui permettra de réduire le réchauffement climatique, de compenser la production de CO2 lié à l’exploitation minière et au déboissement des terres surexploitées pour imposer des cutlures dites « rentable »; permettre aux multi-cultures combinés à des arbres fertilitaires de dominer les espaces vides, pollués, redonnez sens à la nature.
Notre compensation via le reboissement fera parti notre stratégie économique, qui sera proposer au marché en bond “Vert”, aux différentes entreptises, compagnies internationales via une bourse “verte” accessible via une plateforme web, approche concrete au probleme de réchauffement climatique.
Faire comprendre aux entreprises que si elles souhaitent préserver leur activité à long terme, elles se doivent de préserver l’environnement qui les entourent; de donner l’exemple en investissant dans le reboissement massif correspondant aux besoins locaux, à préserver des emplois une fois l’exploitation minière ou forestière terminée, c’est l’unique solution pour compenser la production de CO2 et la déforestation.
Nourrir les générations futures, créer des bourses d’echanges de graines, des centres de formations, façonner, dessiner des fermes permacole, fabriquer du matériel simple pour seulement aerer la terre, jamais la retourner, créer du humus, compost, des engrais fertisssants 100 % naturel à partir des cultures, mettre en place une pharmacopée précise pour la recherche en medecine alternative naturelle.
Des points de vente dans les coopératives bia, mais aussi auprès des entreprises partenaires ou l’on pourra retrouver jus, barres, nutritves, charbons de bois, engrasi, fertilsants…thés, tisane, beurre de karité, huiles, savons….
Prévenir que l’exploitation économique de l’environnement génère des nuisances et altèrent la qualité des milieux marins (mangroves), forets (tropicales la seule et unque d’afrique de l’ouest), des sols poulutions (explosion, produits nocifs aucune filiere de recylage), de l’air (poussiere bauxite, maladie, respiratoire, cancerigene, petrole, …).
Communiquez sur la biodiversite unique de ce pays et essentielle aux autres pays voisins (Surnom : château d’eau de l’Afrique de l’ouest et grenier nourricier pour tous les pays autour (pour le peu de pluies que la forêt produit encore, la saison de l’hivernage se reduit chaque année.
BIA mettra en place un fond social de développement communataire pour aborder tous ces différents thèmes abordés.
Un double rôle sera assigné à ce fond, celui de contribuer au dévelopement durable et solidaire et d’octroyer les moyens necessaires pour mener les projets en faveur du developpement local.
D’apporter des solutions sur le long terme pour ces communautés qui ne disposent d’aucune ressources une fois ces terrains et ces forêts exploités, ils sont ainsi touches directement par ces enjeux économiques (1 ere population immigrée et clandestine en UE).
Contribuer à trouver des solutions pour que la coutume et le droit trouvent un juste milieu pour permettre d’agir entre operateurs économiques et communautés et satisfaire tout le monde et non plus seulement aux dépends de l’environnement.
Déclarations des paysans du sud :
« le modèle des entreprises du secteur agroalimentaire mène à une surproduction d’aliments qui nous empoisonnent, détruit la fertilité des sols, déboise les zones rurales, contamine l’eau et provoque l’acidification des océans, anéantissant par là même les activités de la pêche. les ressources naturelles essentielles sont transformées en marchandises, tandis que l’augmentation des coûts de production force les petits producteurs à abandonner leurs terres. les semences des paysans leur sont volées puis revendues à des prix exorbitants, et transformées en variétés dépendantes de produits agrochimiques polluants et onéreux. le système alimentaire industriel est un des principaux vecteurs des crises multiples du changement climatique, de l’alimentation, de l’environnement et de la santé publique, entre autres. (…) »